Une Guerre contre l'Iran n'a rien d'impossible. Selon nous, elles serait même le prétexte à une Guerre Mondiale.

Cela peut prêter à sourire mais cela pourrait tout aussi bien être inscrit de longue date dans un calendrier.

Les Guerres sont souvent un bon moyen de réajustement, de nettoyage par le vide. Elles surviennent essentiellement lorsqu’un Système atteint ses limites. C'est souvent le cas lors d'un choc économique; c'est à dire, lorsque de grands Pays et Gouvernements (dominants), qui soutiennent l'économie reine, se retrouvent déstabilisés, menacés, par une possible révolution populaire. Ainsi, ceux qui sont sur le Toit du monde, sous la menace d'une panne économique, abattent leur dernière carte.

Une Guerre permet de remettre, d'abord, tout ce petit monde d'indignés, portés par une même énergie, dos à dos, en leur rappelant leurs différences ethniques, sociales, religieuses, morales...

C'est aussi un constat d'échec pour les dirigeants, qui rappelons-le, sont les fusibles de nos démocraties, les hauts fonctionnaires, de l'Ordre. Leur principale fonction étant de diriger leur peuple pour qu'il ne fasse pas trop de vagues. Ainsi, ceux qui profitent du Système financier, utilisent ces fusibles pour s'épanouir tranquillement... librement.

Sur l'échiquier international c'est une même pagaille pour savoir qui sera pour ou contre une Guerre, contre tels Pays ou tel Régime. Cela permet à l’Économie de se relancer, de reprendre des positions "fondamentales" sur d'importants mouvements financiers (profitant du désordre organisé) et d'intervenir sur l'issue probable (l'Ordre nouveau). Le retour à l'Ordre est ainsi obtenu en finançant (rappelons que les caisses des Pays sont vides) les principaux partis qui s'opposent (les alliés des deux camps) et qui seront redevables quelque soit l'issue. La durée de la Guerre profite déjà à l’Économie, la fin de la Guerre dépend du temps, que les maîtres de l’Ordre, mettront à négocier avec les Pays offrant les meilleures garanties sur l'avenir... mais pas l'avenir des peuples... l'avenir de l'Ordre. Quitte à passer du Communisme, au Nazisme, au Capitalisme, au Libéralisme, à la Mondialisation... ou autre couleur. La couleur change, le vélo ne change pas... nous on pédale.

après avoir visionné la vidéo qui suit, retrouvez notre article du 19 mai 2011 cliquez ici

P. Jovanovic : la guerre en 2012 ?